Thibault Loubersanes, chef engagé et créatif du restaurant Affinité
Un restaurant discret, dans le 5e arrondissement de Paris, dont on pourrait presque passer à côté, si l’on ne prêtait pas bien attention au numéro.
Un restaurant discret, dans le 5e arrondissement de Paris, dont on pourrait presque passer à côté, si l’on ne prêtait pas bien attention au numéro.
Des bottines, sandales et baskets pleines de style, sans cuir d’origine animal; c’est ce que l’on peut trouver chez Minuit sur Terre, nouvelle marque végane
À Massignac, le restaurant Dyades, une étoile au guide Michelin, signe la promesse d’une expérience gastronomique unique au sein du Domaine des Étangs. A la
À 35 ans, Julien Lefebvre est le nouveau chef exécutif de Cordeillan-Bages, hôtel 4 étoiles Relais & Châteaux, situé à l’entrée de Pauillac, dans le
« Quand on part en voyage aussi, on attend non seulement une belle cuisine, mais aussi et surtout un bon service »
C’est au sein du restaurant La Chinoiserie de l’hôtel Hyatt Paris Madeleine, baigné de lumière naturelle grâce à sa verrière, que nous rencontrons Sébastien Roux.
Je trouve que le tourisme gastronomique va de pair avec le tourisme hôtelier. Si l’on se rend dans un restaurant gastronomique éloigné, il ya forcément un hôtel à côté, parce qu’après avoir mangé, il faut dormir !
Garde robe colorée, barbe blanche, et chapeau melon : Cyril Aouizerate ne passe pas inaperçu. Mais au-delà de son style dandy décalé, c’est surtout un
Gordon Oldham m’a dit qu’il souhaitait fonder un hôtel-spa en lieu et place de l’Aman Villas à Nusa Dua à Bali. Après avoir fait une étude de marché, je me suis dit que l’on pouvait aller au-delà du simple hôtel-spa et fonder un réel centre de bien-être qui, en plus de proposer des soins, mettrait aussi l’accent sur le spirituel et l’émotionnel.
La gastronomie était un monde que je ne connaissais pas. Il y a des produits dont je n’avais jamais entendu parler, ni goûté. Mais leurs noms m’interpellaient et me faisaient voyager. Lorsqu’on me parlait de l’Australie, je pensais aux aborigènes, m’intéressais à leur façon de vivre, de cuisiner et de manger.
L’idée était de regrouper nos deux univers, celui du chef et celui de la styliste. Sur le premier moodboard, nous avons viré le blanc des vestes de cuisine pour y mettre du bleu un peu partout, des photos des années 20-30 d’ouvriers en train de construire New York, de vieux uniformes, des bleus de travail…
Je m’inspire de ce qui m’entoure, des scènes et moments de vie, des gens. J’étudie les concepts, les tendances. Avec Romain Trollet, nous avons mûri les projets ensemble. La décoration d’un hôtel dépend donc fortement de la demande, des codes du voyage et du travail qui évoluent de façon perpétuelle.
Je mets en lumière l’Art de Vivre Italien, la cuisine, l’artisanat, la culture. Mon blog retrace la joie de vivre italienne, la bonne humeur, j’essaie de véhiculer du positif.
Je suis issue d’une famille d’entrepreneurs. Ma mère possède un magasin de tissus haute couture « Janssens & Janssens », ma grand mère était couturière chez Saint-Laurent et Givenchy, mon père tient un lieu culturel et mon frère est architecte.
’ai trouvé le concept assez atypique et unique pour un bar de palace, qui a tendance à rester très classique. Cela m’a plu de travailler dans un bar qui casse les codes et dépoussière l’atmosphère. Je ne conçois pas le Bar Botaniste comme un bar d’hôtel, mais comme un bar à part entière, un lieu hors du temps.
e n’ai pas l’obligation de respecter l’héritage familial, j’ai la liberté de faire ce qui me semble bon pour les hôtels. Il est important de savoir qu’un héritage familial ne doit pas être un poids. Il faut sans cesse avancer et ne pas être coincé dans le passé. Après, je ne vais pas non plus faire n’importe quoi, comme casser la façade de l’hôtel qui est d’origine, juste pour innover
J’aime les endroits assez vivants qui dégagent une énergie. Il y a un lien logique dans la manière que j’ai de concevoir chaque lieu. J’aime les espaces ouverts, avec pas trop de barrière entre l’extérieur et l’intérieur
Nous prenons énormément de choses en photo, nous voyageons et avons voyagé énormément. Du coup, toutes les idées sont bonnes à prendre. La façade d’un bâtiment au Chili par exemple peut nous servir dans un dessin de menuiserie.
Omar Abodib m’a donné carte blanche pour la réalisation de la fresque. Au début, j’étais parti sur l’idée de faire une fresque aux couleurs bleues et noires, les couleurs d’Etretat.
Le vrai luxe c’est d’aller à l’essentiel, de faire simple, tout en mettant en avant la matière, sans superflu. Le luxe c’est la facilité d’utilisation d’un objet et l’ergonomie.
Il faut savoir qu’aujourd’hui, ce n’est plus comme dans les années 50 où l’on avait 4-5 jours d’escale. Nous avons entre 24 heures et 48 heures de « temps libre » désormais. On essaie donc de s’organiser, d’essayer de voir à l’avance ce qu’on pourrait visiter en un temps réduit.
u fil de ma carrière, j’ai énormément voyagé, j’ai visité la plupart des pays et continents, notamment l’Afrique, le Moyen-Orient, l’Amérique du Sud ainsi que l’Asie. Ce dernier est vraiment féru de produits français comme les baguettes et les croissants.
e ne me considère ni comme une décoratrice et encore moins comme une architecte d’intérieur. Je n’aime pas les cases, je ne peux encore moins m’attribuer le mérite d’être décoratrice ou architecte d’intérieur alors que je n’ai pas fait d’études pour. Ce n’est pas juste pour ceux qui en ont fait et se battent pour se faire connaître.
J’ai toujours été sensible au toucher, à la texture des matières. J’aime beaucoup les écailles des crocodiles. Je suis très attirée par tout ce qui est mat, moins par ce qui brille. Et il est vrai que le mat est plus agréable au toucher
Ce qui m’a le plus attiré dans ce métier, c’est davantage une philosophie. Celle de l’architecte Geoffrey Bawa qui a créé et fait connaître ce qu’on appelle l’architecture tropicale et moderne.
Evoluer dans l’eau est aussi difficile qu’agréable. Les entraînements sont rythmés à raison de deux entraînements de deux heures par jour avec une petite pause les mercredis après-midi et samedis après-midi en plus de dimanche quand il n’y a pas de stages ni de compétitions.
’aime beaucoup New York, bien évidemment, que je trouve très énergique et motivante. Tokyo aussi, moi qui suis absolument fan de cuisine japonaise. Mais Paris reste ma ville préférée et je suis toujours contente de rentrer et d’admirer le Louvre.
j’ai eu du mal à gérer l’après-médaille des Jeux Olympiques, car je me sentais attendue. Je n’avais plus le droit à l’erreur. J’avais un peu perdu le goût de monter sur mon snowboard car la compétition et le stress de bien faire prenaient le dessus.
Nous sommes tous les trois passionnés de glisse, que ce soit l’été sur un surf ou sur un kite et l’hiver sur un snowboard ou des skis. Depuis que nous sommes tout petits, nous en pratiquons à chaque fois que nous en avons l’occasion.
C’est un véritable mode de vie. L’un de mes conseils les plus faciles à mettre en place consiste à ne pas sauter de repas. Une règle de base. Je ne suis pas trop pour les régimes. Il ne faut pas se priver, mais respecter un équilibre pour éviter l’effet yo-yo qui casse les métabolismes.
A seulement 30 ans, Dominique Gisin a déjà raflé sept podiums dont trois victoires en Coupe du Monde et une médaille d’or lors des Jeux
Elle n’a que 23 ans, bientôt 24, et pourtant, Alizée Baron, championne de ski cross, possède déjà un palmarès fulgurant. Arrivée 20e lors des Jeux
Il revient d’une traversée à pieds du désert d’Atacama chilien sans aucune assistance. Après avoir gravi l’Everest et parcouru l’Atlantique à la rame, Charles Hedrich
Femme d’affaires, animatrice, présentatrice, beautista…A seulement 34 ans, Hapsatou Sy possède déjà plusieurs cordes à son arc.
« En Inde du sud, j’ai fait un stage de Kathakali : c’est du théâtre chanté et dansé ou les indiens se griment avec un maquillage de dominante verte pour symboliser les rois, les héros, et les dieux… «
On pourrait croire que Beirut Cooks (aux éditions Rawiya) est un énième livre de cuisine, comme il en existe déjà tant. Mais cet ouvrage, réalisé
« On apprend à découvrir une ville, et même si on ne visite pas la Tour Eiffel, on s’imprègne de la capitale quand même, en allant à la rencontre d’autres personne »
Mandaley est votre ressource de voyage.
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Soyez les premiers à découvrir de nouveaux lieux, avant qu’ils ne soient bondés. Nous vous emmenons hors des sentiers battus, à la découverte de lieux inexplorés, sans mettre de côté l’exigence de la qualité.
Le plaisir des yeux nous importe : nos photos sont choisies pour vous faire rêver et vous donner l’envie de partir.
Notre Leitmotiv : Moment matters*
Toutes les semaines, Mandaley part à la recherche d’hôtels à travers le monde, et les choisit selon différents critères afin de vous les faire découvrir.